Une histoire de poubelle
Me revoici, enfin en vie (à défaut d'écrire un autre mot commençant par v histoire de ne pas heurter les sensibilités), après avoir passé 5 semaines à bosser suffisamment pour ne pas avoir à rougir devant mes camarades de prépa, je pense (bon, peut-être pas en ce moment). La salve de partiels est passée, et elle fut très rapide celle-là, très dense aussi...
Et donc aujourd'hui, une fois les relations franco-allemandes expédiées comme j'ai pu, plutôt pas mal en fait pour le peu que je l'avais révisé celui-là (pas ma faute ! pas eu le temps...), j'ai décidé de glander. J'ai d'abord retrouvé en ville quelques-uns de mes camarades de classe avec l'intonation qui va pour acheter des cadeaux pour le départ à la retraite d'un de nos profs chéris, ce qui fut l'occasion pour nous de se retrouver dans une situation fort peu caustique, voire pénible, du genre "bande de bourgeois". En fait, on était chez Bochard, fort bon chocolatier grenoblois, et aussi fort cher, mais à 20 on peut se permettre de débourser 27 euros pour 400 grammes de chocolat, bref, on était là donc, rue Lesdiguières, lorsqu'on a vu débarquer une nuée de CRS qui coursaient des manifestants lycéens, avec l'arsenal qui va avec, lacrymo et aussi flash ball d'après Eléonore qui était devant la boutique à ce moment-là et qui a donc aussi pu déguster sa dose de lacrymo alors qu'elle allait acheter ses cadeaux. Du coup, je me suis sentie assez con, à commander mes chocolats alors que ça se coursait dans la rue...
Après cet épisode pas franchement réjouissant, nous sommes partis notre boîte de chocolats sous le bras, et finalement je me suis retrouvée à Grand-Place avec Sabine, à Conforama plus exactement car elle voulait acheter des étagères. Yeah. Et je pus alors vérifier que oui, tout était en ordre, et que rien n'avait changé, j'étais toujours aussi quiche.
En effet, je voulais en profiter pour voir s'ils vendaient des poubelles, et nous errions désespérément dans le magasin à la recherche de quelque chose qui ne soit pas une corbeille à linge, quand je vis une poubelle, toute seule dans son coin, avec son joli petit sac noir. Je me précipitai, vit un genre d'étiquette vaguement collé sur le dessus et m'exclamai : "quoi ! 32 euros ! putain c'est cher !"
Sabine me fit alors remarquer que cette poubelle n'était pas à vendre, qu'en fait, j'étais sous un poste ordinateur de prise de commande et que non, elle ne coûtait pas 32 euros, qu'il s'agissait d'une étiquette... jetée à la poubelle, tout simplement.
Bon, et pour info, ils vendent pas de poubelle à Confo. Autre info : des étagères, c'est lourd.
Et donc aujourd'hui, une fois les relations franco-allemandes expédiées comme j'ai pu, plutôt pas mal en fait pour le peu que je l'avais révisé celui-là (pas ma faute ! pas eu le temps...), j'ai décidé de glander. J'ai d'abord retrouvé en ville quelques-uns de mes camarades de classe avec l'intonation qui va pour acheter des cadeaux pour le départ à la retraite d'un de nos profs chéris, ce qui fut l'occasion pour nous de se retrouver dans une situation fort peu caustique, voire pénible, du genre "bande de bourgeois". En fait, on était chez Bochard, fort bon chocolatier grenoblois, et aussi fort cher, mais à 20 on peut se permettre de débourser 27 euros pour 400 grammes de chocolat, bref, on était là donc, rue Lesdiguières, lorsqu'on a vu débarquer une nuée de CRS qui coursaient des manifestants lycéens, avec l'arsenal qui va avec, lacrymo et aussi flash ball d'après Eléonore qui était devant la boutique à ce moment-là et qui a donc aussi pu déguster sa dose de lacrymo alors qu'elle allait acheter ses cadeaux. Du coup, je me suis sentie assez con, à commander mes chocolats alors que ça se coursait dans la rue...
Après cet épisode pas franchement réjouissant, nous sommes partis notre boîte de chocolats sous le bras, et finalement je me suis retrouvée à Grand-Place avec Sabine, à Conforama plus exactement car elle voulait acheter des étagères. Yeah. Et je pus alors vérifier que oui, tout était en ordre, et que rien n'avait changé, j'étais toujours aussi quiche.
En effet, je voulais en profiter pour voir s'ils vendaient des poubelles, et nous errions désespérément dans le magasin à la recherche de quelque chose qui ne soit pas une corbeille à linge, quand je vis une poubelle, toute seule dans son coin, avec son joli petit sac noir. Je me précipitai, vit un genre d'étiquette vaguement collé sur le dessus et m'exclamai : "quoi ! 32 euros ! putain c'est cher !"
Sabine me fit alors remarquer que cette poubelle n'était pas à vendre, qu'en fait, j'étais sous un poste ordinateur de prise de commande et que non, elle ne coûtait pas 32 euros, qu'il s'agissait d'une étiquette... jetée à la poubelle, tout simplement.
Bon, et pour info, ils vendent pas de poubelle à Confo. Autre info : des étagères, c'est lourd.
3 commentaires:
Ben heureusement que tu l'as pas prise, à 32€ !!
Ouais ben attend, on m'a pas moi, j'ai le sens des affaires, hé !
ah ah! tu as donc bien raconté ta "quicherie" ici :)
ce fut fort drôle il est vrai!
et merci encore pour l'étagère!!(et ça aussi c'était bien marrant "vite il y a un tram!... bon. on court?")
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