jeudi 26 juin 2008

Ma vie onirique est tout à fait trépidante...

De l'action ! (bruit de mitraillette "tadadadadada !")
Des femmes ! ("Aahhhhh...")
Et puis...voilà.
Non parce qu'après avoir rêvé que je me faisais couper les doigts (et plus précisemment les dernières phalanges), je fais le genre de rêve pas du tout drôle, voire stressant, mais qui, à raconter, ne génère pas du tout le même genre de sentiment.
Je vous laisse apprécier, malgré l'aspect peu structuré de mon récit :

J'ai un fils. Mais ce n'est pas le mien, tout le monde le sait, y compris moi, même si j'assure à un moment que : "c'est mon fils, ça je ne peux pas le nier." Bon à la base c'est un peu un individu difforme, malingre, que j'ai recueilli car son papa fait ses études de médecine (et ressemble à au fils d'Alice Young pour les initiées). Bref. C'est un détail puisqu'après, on en a plus rien à faire. Sauf quand nous allons à la piscine et que mon protégé s'inquiète qu'on le laissera utiliser ou non le toboggan. Question que j'élude (attention, c'est la séquence émotion) : "Ils laisseront passer car tu es le plus beau." (Genre père qui parle à l'héritier de sa tribu : "tu es un grand chasseur mon fils.")
Une activité surprenante quand on sait ce qui m'arrive après dans un Grenoble dirigé par un gang.
Par la suite, je me trouve avec d'autres gens sur une voie ferrée désaffectée, où beaucoup de meubles ont été abandonnés, dont une armoire à glace. Importante l'armoire à glace, car c'est à elle que je dois la vie. Attendez que je vous explique :
Nous voilà confrontés à des membres du gang qui nous prennent pour cible. Un véritable fusillade ! A laquelle je réchappe, protégée par mon armoire à glace que je fais tourner (qui a dit que c'était par réaliste ?) pour éviter les balles.
Une femme du camp adverse me remarque alors (parce que bon c'est énervant à la fois cette clampine qui veut pas mourir). Le stéréotype de la guerrière.
"Ah ah ! Tu vas mourir. Tu ne pourras pas échapper à mon adroit lancer de poignard !"
Bon là j'ai un peu peur surtout que je suis par terre, derrière un grand miroir (encore) et qu'elle a pas l'air de rire. Alors bon elle commence se loupe (mais elle est très forte car ses couteaux décrivent une trajectoire circulaire quand même). Plusieurs fois puisque je lui rends un de ses couteaux pour qu'elle recommence (sans commentaire).
Et là l'ultime lancer : le couteau rebondit sur la glace et se plante droit dans son coeur.
Le dialogue qui tue (han.) : "Arghhh... Quand les choses se retournent contre vous..."
Bon après je ramasse les couteaux...de cuisine (et oui, on peut pas toujours avoir la classe), et me réveille...



Je dédicace ce post à la salamandre qui m'a appris à taper sans regarder le clavier, chose bien utile particulièrement aujourd'hui car les lettres sont presque toutes effacées sur celui que j'utilise.

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4 commentaires:

Blogger Kro a dit...

Là je dois avoir encore 1g d'alcool dans le sang et franchement, dans cet état-là, le coup de l'armoire à glace ça m'a fait trop rire. Freud aurait des choses à dire je pense.

27 juin 2008 à 13:24  
Blogger Nouïlle a dit...

Nan mais se sont des chose qui arrive... comme se faire priver de sorti a 19 ans, si si je vous jure!

27 juin 2008 à 14:15  
Blogger Salamandre a dit...

Moi j'aime ce libellé rêve, j'ai envie de m'y mettre bientôt !
Et puis je suis trop pémue qu'on me dédicace un post, c'est la première fois, sniff :')
Longue vie à l'inconscient de Froddy !!

28 juin 2008 à 17:34  
Blogger Kro a dit...

Touichpe.
Et Nouille, là spa possib', l'heure de la révolte a sonné... enfin tout de même, je veux dire... les répondeurs c'est fait pour ça aussi...

29 juin 2008 à 16:08  

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